Agir pour
les droits de l'enfant

Dans les pays dans lesquels nous intervenons, nous constatons que tout enfant issu d’une famille précaire, ou d’une population discriminée, né fille ou né avec un handicap, n’a pas la garantie d’avoir ses droits fondamentaux et ses besoins les plus essentiels respectés. Ce sont des enfants qu’on laisse de côté et qui ne peuvent pas construire leur avenir.

Et pourtant, dans la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (1989), ratifiée par 196 Etats, l’article 6 énonce les principes et obligations des États de protéger les droits fondamentaux de chaque enfant. L’enfant est un sujet de droit, il est reconnu comme un être humain à part entière disposant de ses droits civils, économiques et sociaux.

Ce traité à dimension universelle constitue le fondement de nos actions. Nos 4 champs d’action prioritaires en sont l’émanation : droit à l’éducation, à la santé, au respect de son identité ainsi qu’à la protection contre toutes formes de maltraitance et de violence.

Que dit la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) ?

Les 54 articles de la Convention énoncent que chaque enfant a
 le droit :

• d’avoir un nom, une nationalité, une identité,
• d’être soigné, protégé des maladies, d’avoir une alimentation suffisante et équilibrée,
• d’aller à l’école,
• d’être protégé de la violence, de la maltraitance et de toute forme d’abus et d’exploitation,
• d’être protégé contre toutes les formes de discrimination,
• de ne pas faire la guerre, ni la subir,
• d’avoir un refuge, d’être secouru, et d’avoir des conditions de vie décentes,
• de jouer et d’avoir des loisirs,
• à la liberté d’information, d’expression et de participation,
• d’avoir une famille, d’être entouré et aimé.

L’éducation est un droit fondamental qui permet de faire respecter les autres droits. C’est pourquoi elle est la priorité n°1 pour les Amis des Enfants du Monde. L’éducation permet d’acquérir des connaissances et de bien se développer pour pouvoir choisir un métier en fonction de son identité, de sa culture, de ses envies et de ses compétences. Elle permet aussi d’apprendre à se protéger des maladies, connaître ses droits et lutter contre la pauvreté.

D’après les estimations de l’UNICEF, seul un tiers des enfants âgés de 10 ans à travers le monde seraient capables de lire et de comprendre un texte simple. La fermeture prolongée des établissements scolaires et le manque d’accès à un apprentissage de qualité durant la pandémie de COVID-19 ont révélé et exacerbé une crise de l’apprentissage préexistante, privant des millions d’écoliers à travers le monde des compétences fondamentales en lecture et en calcul. L’éducation est essentielle pour différents enjeux comme l’insertion socio-économique, l’atténuation des effets du changement climatique, le développement économique et social, l’égalité de genre, la nutrition et la santé, ou encore l’accès à la citoyenneté.

Garantir un suivi éducatif sur le long terme, c’est-à-dire offrir aux enfants une éducation le plus tôt possible et le plus longtemps possible, avec des résultats concrets à la clé ;
Améliorer la qualité de l’enseignement par l’implication de la communauté, le soutien aux enseignants et l’amélioration des infrastructures scolaires ;
Assurer une éducation équitable qui bénéficie aussi bien aux garçons qu’aux filles, qui inclut les enfants en très grande précarité, en situation de handicap, mais aussi issus de minorités discriminées.

2/3

des enfants des enfants de 10 ans n’ont pas la capacité de lire et comprendre un texte simple.

Source : UNICEF France

75%

de nos programmes défendent le droit à l’éducation.

Si le droit à l’éducation est la pierre angulaire du développement pour l’enfant, il l’est bien souvent aussi pour toute sa famille. C’est pourquoi nous agissons à chaque moment de la vie de l’enfant ou selon ses besoins spécifiques.

Nos partenaires locaux concourent pour pallier le manque des ressources des services publics sur place afin de mettre en place un suivi éducatif sur le long terme. Il s’agit d’améliorer la qualité de l’enseignement par l’implication des communautés locales tout en soutenant une éducation inclusive et non-discriminante.

Quand elle est accessible à tous et de qualité, l’éducation constitue un levier fondamental de prévention et de lutte contre toute les formes d’inégalité.

La préscolarisation

Les premières années d’un enfant sont essentielles : les enfants ont besoin de soins attentifs, d’une nutrition adéquate qui répond à leurs besoins nutritionnels et d’être éveillés et stimulés afin d’assurer leur développement socio-cognitif. De plus, l’accès précoce à l’éducation des plus petits permet d’acquérir les compétences éducatives qui amélioreront l’intégration des enfants en primaire. L’éducation des enfants en bas âge est non seulement un levier pour la réussite scolaire des enfants défavorisés, mais également un moyen de lutte contre la mortalité infantile, en plus d’être un outil pour sensibiliser les parents aux enjeux de l’éducation.

Voir nos actions sur ce thème :

Préscolarisation avec Kozama à Madagascar

L'éducation primaire

D’après l’UNESCO, 387 millions d’enfants en âge de fréquenter l’école primaire, soit 56 % d’entre eux, ne possèdent pas les compétences de base en lecture. Ce chiffre s’élève à 87 % en Afrique subsaharienne, à 81 % en Asie centrale et en Asie du Sud, mais ne représente que de 7 % en Europe et en Amérique du Nord.

Voir nos actions sur ce thème :

Education primaire en région pré-sahélienne, au Burkina Faso, avec AZN
Education primaire à Wonji, en Ethiopie, avec Alliance for Children
Education primaire en Haïti, avec Interaide
Education primaire des enfants des rues au Vietnam, avec FFSC

Éducation secondaire

Après l’apprentissage des connaissances élémentaires, l’accès à l’éducation dans le secondaire permet d’approfondir les enseignements et de choisir un métier en fonction de son identité, sa culture, ses envies, ses compétences.

17 % des adolescents en âge de fréquenter le premier cycle du secondaire sont aujourd’hui exclus du système éducatif, soit près d’un enfant sur cinq.

Voir nos actions sur ce thème :

Education secondaire au Guatemala, avec la Fondation Rigoberta Menchu
Education secondaire des filles en internat scolaire au Sénégal, avec le Collège Baba Garage
Education secondaire des enfants des rues au Vietnam, avec FFSC
Education secondaire des filles à Sadar Para au Bangladesh, avec Friendship

Éducation des filles

Nous défendons l’éducation des filles comme un moyen de lutter contre la pauvreté, car une fille dont la voix et les aspirations sont écoutées est une femme qui peut briser le cercle vicieux de la précarité.

Une fille scolarisée, c’est aussi une fille éduquée sur les comportements préventifs en termes d’hygiène et de santé, une fille qui peut accéder à un travail et fonder un foyer plus solide et moins précaire.

Voir nos actions sur ce thème :

Education secondaire des filles en internat scolaire au Sénégal, avec le Collège Baba Garage
Education secondaire des filles à Sadar Para au Bangladesh, avec Friendship
Education des filles issues de villages de brousse au Sénégal, avec le Foyer St Charles

Éducation et handicap

En théorie, les enfants ont le droit à la non-discrimination, donc les enfants en situation de handicap devraient avoir accès à une éducation qui prenne en compte leurs limites physiques, mentales ou sensorielles, pour mener une vie décente et dans la dignité. Pourtant, dans de nombreux pays, des enfants handicapés sont privés d’école ou de soins de santé, voire maltraités. Quand elle est accessible à tous et de qualité, l’éducation constitue un levier fondamental de prévention et de lutte contre toute les formes d’inégalité et de discrimination.

Voir nos actions sur ce thème :

Prise en charge et éducation des enfants porteurs de handicap au Bangladesh, avec SARPV
Education inclusive en Inde, avec SEVAI 

Enseignement supérieur et formation professionnelle

En 2030, 77 % de la population active des jeunes vivront dans les pays en voie de développement d’Afrique, d’Asie et du Pacifique (Source : Coalition Education) : favoriser l’accès à une formation professionnelle ou à une bourse d’enseignement supérieur offre un vrai tremplin aux jeunes désireux de s’intégrer dans l’économie de leur pays. Une formation qualifiante, adaptée au marché du travail local, permet de lutter efficacement contre l’exode rural et l’extrême pauvreté.

Voir nos actions sur ce thème :

Formation professionnelle et insertion socio-professionnelle des enfants des rues de Dakar au Sénégal, avec Village Pilote
Formation aux techniques d’agriculture biologique et lutte contre l’exode rural, avec SEVAI
Bourses d’enseignement supérieur pour les enfants de familles précaires au Cambodge, avec le Foyer Lataste
Bourses d’enseignement supérieur pour les enfants de familles précaires des bidonvilles de Manille aux Philippines, avec ERDA

La Convention Internationale des droits de l’enfant indique que chaque enfant est en droit d’être protégé des maladies. C’est-à-dire qu’il doit pouvoir : être pris en charge s’il est malade, être vacciné, avoir accès à l’eau potable et aux toilettes, être bien nourri pour grandir en bonne santé. Les carences nutritionnelles ou la maladie provoquent des retards de croissance chez l’enfant et engendrent de mauvais résultats scolaires. Le lien entre conditions sanitaires et perspectives d’avenir chez l’enfant est donc extrêmement fort. Plus qu’un droit fondamental, la santé permet à un enfant de réaliser son potentiel : un enfant en bonne santé peut aller à l’école et suivre ses cours normalement.

En 2022, la FAO estime que 45 millions d’enfants de moins de 5 ans souffrent d’émaciation, la forme la plus mortelle de malnutrition. De plus, 149 millions d’enfants de moins de 5 ans présentent un retard de croissance et de développement en raison d’un manque chronique de nutriments essentiels dans leur alimentation. Dans les pays en développement, beaucoup d’enfants ne sont pas soignés en raison de la pauvreté, du manque d’accès à l’eau potable et à l’hygiène, du manque de soins adaptés, ou encore parce que les centres de santé sont trop éloignés de chez eux ou manquent de personnel.

Dépister et soigner la malnutrition : l’insécurité alimentaire, liée au réchauffement climatique et au faible pouvoir d’achat des populations, s’est accrue dans de nombreux pays. Dans les zones isolées, de nombreux enfants souffrent de malnutrition ; un suivi médical avec une attention particulière à leur état nutritionnel est primordial. 
• Garantir l’accès aux soins pour les enfants qui en sont le plus éloignés – les enfants en situation de rue, ou vivant dans l’extrême précarité ou dans des bidonvilles, mais aussi des enfants souffrant de comorbidités telles que la malnutrition, une infection au VIH ou encore un handicap.  
• Sensibiliser aux attitudes préventives en matière de santé : le suivi des maladies et de la malnutrition n’a de sens que s’il va de pair avec des actions de prévention auprès des familles et des communautés. 

149M

d’enfants de moins de 5 ans présentent un retard de croissance et de développement en raison d’un manque chronique de nutriments essentiels dans leur alimentation.

Source :  OMS

45M

d’enfants de moins de 5 ans souffrent d’émancipation

Plus qu’un droit fondamental, la santé permet à un enfant de réaliser son potentiel : un enfant en bonne santé peut aller à l’école et suivre les cours normalement. Il deviendra un adulte bien portant, qui pourra améliorer ses conditions de vie et transmettre les bons gestes d’hygiène à sa famille et à sa communauté. La santé d’un enfant est un pilier du cercle vertueux du développement.

Centre de santé et de récupération nutritionnelle 

Les enfants en situation de rue, ou vivant dans l’extrême précarité ou dans des bidonvilles, mais aussi des enfants souffrant de comorbidités telles que la malnutrition, une infection au VIH ou encore un handicap, nécessitent un suivi médical de proximité.

Voir nos actions sur ce thème :

Assurer le dépistage et le suivi nutritionnel des enfants souffrant de malnutrition sévère, avec le Centre de Santé Ste Hélène
Apporter les premiers soins et un suivi nutritionnel aux enfants des rues en Inde, avec Voice Trust
Apporter un suivi médical et éducatif aux enfants en bas âge à Madagascar, avec Kozama

Santé et alimentation en milieu scolaire 

Des millions d’enfants se rendent chaque jour à l’école dans des environnements d’apprentissage peu sûrs, sans eau potable, sans toilettes adéquates et sans savon pour se laver les mains. Or, les études menées par l’OMS, l’UNICEF et l’UNESCO suggèrent que les programmes de santé, d’hygiène et de nutrition scolaires peuvent accompagner une action commune plus intense en s’appuyant sur les écoles comme lieux d’apprentissage de la santé pour les enfants.  Dans les écoles, certaines démarches d’apprentissage incluant des interventions généralisées en milieu scolaire et d’autres ciblant spécifiquement les enfants et les jeunes à risque se sont avérées efficaces. Il s’agit à la fois de soigner, mais aussi de prévenir : faire acquérir aux enfants les connaissances, les comportements et l’autonomie fonctionnelle nécessaires pour prendre les décisions les plus appropriées en matière de santé. Les pratiques d’hygiène acquises à l’école créent des habitudes positives pour toute la vie, et ce, aussi bien à l’échelle individuelle, qu’à l’échelle du foyer ou encore de la communauté.

Voir nos actions sur ce thème :

Sensibiliser aux gestes préventifs en matière de santé et d’hygiène, en milieu scolaire, en Ethiopie, avec ECF.  
Sensibiliser des enfants migrants aux gestes préventifs en matière de santé et d’hygiène au Vietnam, en milieu scolaire

Santé mentale et bien-être social 

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la santé mentale correspond à « un état de bien-être dans lequel un individu réalise ses propres capacités, peut faire face aux contraintes normales de la vie, peut travailler de manière productive et apporter une contribution à sa communauté ». Elle est une composante de la santé, sans santé mentale, il n’y a pas de santé. Les multiples changements et les besoins particuliers qui caractérisent ces périodes peuvent rendre les enfants et les jeunes plus vulnérables aux troubles de santé mentale. La précarité ou le fait de n’avoir pas de logement stable sont des éléments qui vont s’ajouter aux facteurs de vulnérabilité.

 
La santé mentale a été incluse dans les objectifs de développement durable ODD 3 (cibles 3.4 et 3.5) qui vise à donner aux personnes les moyens de vivre une vie saine et promouvoir le bien-être à tous les âges.

Voir nos actions sur ce thème :

Accompagne les enfants et les familles en souffrance psychologique au Liban, avec Libami >
Créer un lien de confiance avec les enfants des rues par l’art-thérapie à Madagascar, avec Grandir à Antsirabé >
Créer un lien de confiance avec les enfants migrants par l’art-thérapie en France, avec Hors la Rue >
Venir en aide aux enfants en détresse via un numéro d’urgence en Inde, avec SEVAI Sensibiliser des enfants migrants aux gestes préventifs en matière de santé et d’hygiène au Vietnam, en milieu scolaire >

La Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE) donne à tout enfant le droit à une identité. L’enfant a le droit à un nom, à une nationalité et, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux. Être enregistré(e) à la naissance est le premier des droits civils parce qu’il atteste de l’existence et de l’identité d’un enfant.

Cependant, dans les pays en développement, tous ne sont pas enregistrés à la naissance. On estime à plus de 230 millions le nombre d’enfants sans état civil qui sont ainsi privés de leurs droits ; on les appelle « les enfants fantôme ». La méconnaissance qui entoure les démarches administratives se jumelle avec un nombre parfois insuffisant de bureaux prévus à cet effet, ces derniers sont parfois loin pour les familles qui n’ont pas les moyens de se déplacer. En outre, la difficulté est encore plus grande pour les parents sans papiers et illettrés qui n’ont pas la confiance nécessaire pour affronter l’administration. Les papiers d’identité, et notamment les actes de naissance, sont pourtant le sésame pour que l’enfant puisse avoir accès à l’école et aux soins, et plus tard, à un métier. Sans identité, il ne pourra pas voter et exercer son rôle de citoyen. 

Accompagner dans les démarches administratives : la longueur et le coût des procédures étant dissuasifs, nos partenaires accompagnement les familles dans leurs démarches administratives d’état civil. 
Faire reconnaître son identité : en France, nos partenaires s’engagent auprès des enfants migrants, afin de les aider à faire reconnaître leur minorité et avoir accès à leurs droits. 

230 M

d’enfants sont sans état civil et sont ainsi privés de leurs droits.

Être enregistré à la naissance est le premier des droits civils. Sans ce document, un enfant est exposé à toutes les formes de violence : travail forcé, exploitation sexuelle, mariage précoce, enrôlement dans les forces armées, risque d’être jugé comme un adulte. Parce que ne pas avoir d’existence légale constitue une forme de discrimination, les Amis des Enfants s’engagent sur des programmes d’accompagnement et de reconnaissance de ces « enfants fantômes ».

Accompagner dans les démarches administratives

La longueur et le coût des procédures étant dissuasifs, nos partenaires accompagnement les familles dans leurs démarches administratives, ouvrant ainsi l’accès pour les enfants à la scolarisation et aux soins.

Faire reconnaître son identité

En France, nos partenaires s’engagent auprès des enfants migrants, afin de les aider à faire reconnaître leur minorité et avoir accès à leurs droits les plus fondamentaux. En parallèle de cet accompagnement, les enfants sont mis à l’abri et sont accompagnés psychologiquement et dans leur insertion sociale.

Voir nos actions sur ce thème :

Faire reconnaître les droits des filles migrantes en France, avec Utopia 56
Faire reconnaître la minorité des enfants migrants en France, avec Hors la Rue

Chaque enfant a le droit d’être protégé de la maltraitance et de l’exploitation, du mariage forcé… Il a le droit de ne pas travailler, de ne pas faire la guerre, ni de la subir, d’avoir un refuge, d’être secouru, d’avoir une famille, d’être entouré et aimé. Les droits spécifiques de protection des enfants sont garantis par la Convention Internationale des Droits de l’Enfant. Les enfants sont plus vulnérables que les adultes et ceux qui se retrouvent complètement seuls et confrontés à eux-mêmes le sont évidemment encore plus.

C’est parce que l’enfant est vulnérable, qu’il doit faire l’objet d’un intérêt particulier et d’une protection spécifique. Cette protection doit être assurée avant tout par les parents et la communauté qui l’entourent, puis par les États. Une absence de protection peut mettre en péril le développement social et affectif de l’enfant.

Accueillir d’urgence les enfants maltraités ou isolés : via des maraudes, nos partenaires se font connaître des enfants afin de tisser un lien de confiance. Il lui est ensuite proposé de rejoindre un centre d’accueil, où il pourra être hébergé en toute sécurité et nourri et soigné. Il pourra être à nouveau scolarisé ou avoir accès à une formation professionnelle. 
Accompagner la réinsertion familiale : lorsque l’enfant a encore des liens avec sa famille, les travailleurs sociaux mettent en place des visites familiales pour mieux comprendre les conditions de vie des enfants, avoir ainsi une meilleure compréhension de la situation que traversent les enfants et apporter un soutien adapté aux familles en difficulté, afin de faciliter le retour en famille lorsque celui-ci est envisageable. 
Accompagner la réinsertion socio-professionnelle : dans les centres d’accueil, est proposé aux enfants la rescolarisation ou une formation professionnelle, en fonction de son âge. La vie de ces structures est aussi rythmée par des activités pour réapprendre à chaque jeune à vivre en communauté. 

120M

d’enfants sont en « situation de rue », livrés à eux-mêmes.

30%

de nos programmes portent sur la protection d’enfants isolés.

La violence envers les enfants peut prendre diverses formes ; elle peut être physique, psychologique, sexuelle. Les enfants qui n’ont pas un foyer stable sont plus vulnérable, la priorité est donc de les mettre à l’abri, les écouter et les prendre en charge. Pour cela, l’enjeu est d’être identité comme un adulte bienveillant, les convaincre qu’on peut les aider, sans rien attendre d’eux.

Accueillir d’urgence les enfants maltraités ou isolés

Via des maraudes, nos partenaires se font connaître des enfants afin de tisser un lien de confiance. Il lui est ensuite proposé de rejoindre un centre d’accueil, où il pourra être hébergé en toute sécurité et nourri et soigné. Il pourra être à nouveau scolarisé ou avoir accès à une formation professionnelle.

Voir nos actions sur ce thème :

Venir en aide aux enfants en détresse via un numéro d’urgence en Inde, avec SEVAI
Accueil et prise en charge des enfants des rues au Sénégal, avec Village Pilote
Accueil et prise en charge des enfants des rues à Antsirabé (Madagascar), avec Grandir à Antsirabé
Accompagnement global des enfants des rues au Vietnam, avec FFSC
Accueil et protection des enfants migrants en France, avec Hors la Rue
Accueil et protection des filles migrantes en France, avec Utopia 56

Accompagner la réinsertion familiale

Lorsque l’enfant a encore des liens avec sa famille, les travailleurs sociaux mettent en place des visites familiales pour mieux comprendre les conditions de vie des enfants, avoir ainsi une meilleure compréhension de la situation que traversent les enfants et apporter un soutien adapté aux familles en difficulté, afin de faciliter le retour en famille lorsque celui-ci est envisageable.

Voir nos actions sur ce thème :

Venir en aide aux enfants en détresse via un numéro d’urgence en Inde, avec SEVAI
Accueil et prise en charge des enfants des rues au Sénégal, avec Village Pilote
Accueil et prise en charge des enfants des rues à Antsirabé (Madagascar), avec Grandir à Antsirabé

Accompagner dans les démarches administratives

Dans les centres d’accueil, est proposé aux enfants la rescolarisation ou une formation professionnelle, en fonction de son âge. La vie de ces structures est aussi rythmée par des activités pour réapprendre à chaque jeune à vivre en communauté.

Voir nos actions sur ce thème :

Formation professionnelle et insertion socio-professionnelle des enfants des rues de Dakar au Sénégal, avec Village Pilote

 

 

Rechercher

Equipe bénévole d'Alsace-Lorraine

Nancy (54)
Contact : Corinne CLAUDEL

Equipe bénévole de Bresse-Auvergne

Villerest (42)
Contact : Guy VEILLAS

Equipe bénévole de Rhône-Alpes

Lyon (69)
Contact : Emmanuelle GAIDE

Voiron (38)
Contact : Louis-Marie SOURICE

Equipe bénévole de Languedoc-Provence

Avignon (84)
Contact : Gaëtan CHAPLEAU

Equipe bénévole du Sud-Ouest

Anglet (64)
Contact : Bernard MARTIN

Equipe bénévole du Centre-Ouest

Niort (79)
Contact : Bernard REVELLAT

Equipe bénévole de Pays de Loire-Bretagne

Le Fenouiller (85)
Contact : Alain CHAILLOU

Equipe bénévole du nord

Louvil (59)
Contact : Martine DUCROQUET

Equipe bénévole d’Ile-de-France

Mennecy (91)
Contact : Brigitte BRIANT