Ethiopian Childrens fund (ECF): UN NOUVEAU PARTENARIAT A AMORCER
L’association ECF prend en charge 740 enfants pour la globalité de leurs besoins (scolarité, santé, alimentation). Ces enfants, orphelins ou très défavorisés, sont âgés de 4 à 20 ans et font partie de la communauté d’Aleltu. Dans ce village :
> 65 % des enfants sont déscolarisés (en raison de l’éloignement del’école, du coût de la scolarité, mais aussi du travail des enfants).
> il y a 1 seul dispensaire pour 150.000 habitants, ce qui rend l’accès aux soins difficile.
> les enfants ne bénéficient pas d’une alimentation suffisante.
Cette première année de partenariat va nous permettre de mieux nous connaître. La première mission est donc l’occasion de présenter l’association et les impératifs de partenariat : rapports réguliers, budgets prévisionnels, reçus de versement, vérification de la comptabilité, mission d’audit annuelle …
Nous allons visiter les locaux, passer une journée avec les enfants pour voir le fonctionnement général, une journée dans le village avec les familles, les officiels et les services sociaux.
Cette première ‘plongée’ au sein du fonctionnement d’ECF est primordiale pour créer une relation de confiance réciproque.
ALLIANCE FOR CHILDREN : POURSUIVRE ET CONSOLIDER
A Wonji, la communauté a des difficultés à financer le fonctionnement de cette école de 260 enfants (pré-scolaires et primaires). Les Amis des Enfants du Monde accompagnent ce programme depuis 2015 afin d’améliorer l’accueil des enfants, augmenter le salaire des professeurs, construire des sanitaires propres et faciliter l’utilisation de l’eau grâce à l’installation d’un tank à eau.
La mission permet de visiter les classes et rencontrer les familles bénéficiaires à domicile. C’est aussi un temps de suivi des travaux d’amélioration en cours, de rencontre avec l’équipe enseignante et avec le ‘board’ pour les différents aspects administratifs et contractuels.
LIGHT HOUSE : CLORE LE PARTENARIAT
Nous avons accompagné cette école maternelle pendant 8 années. Elle permet aux enfants issus des familles les plus défavorisées de la ville d’Holéta, à 40 km d’Addis Abeba, d’être scolarisés en maternelle, et ainsi mieux préparés au passage à l’école primaire. Les financements locaux sont désormais suffisants, ce qui nous permet de nous retirer.
NB : La mission a été écourtée pour des raisons de sécurité : il est impératif de ne pas s’éloigner d’Addis Abeba et ses alentours.
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