AU SENEGAL : LES ECOLES MATERNELLES DE THIES ET LES ETUDIANTS DU FOYER ST CHARLES
– Visite de 5 écoles maternelles à Thiès, situées dans des quartiers très défavorisées.
« Les maternelles accueillent les enfants de 2 à 5 ans afin de les éviter de traîner dans les rues, d’être récupérés par les marabouts de daaras illégaux… Les éducatrices sont très dévouées pour les enfants et sont également très proches des familles. Le manque de moyens est flagrant autant sur le plan des infrastructures que du matériel. »
– Rencontre avec les étudiants du foyer St Charles à Thiès :
« Ils sont 54, entre 11 et 25 ans et étudient de la 6 ème à l’enseignement supérieur. Ils s’autogèrent avec l’aide de 3 surveillants, se partagent les taches avec différents ministères ( économie, discipline, études, environnement…). Ils sont en train de créer un jardin et un poulailler pour diminuer les frais d’alimentation et faire rentrer un peu d’argent…
Un pas vers l’autonomisation »
Maternelle de Thiès (à gauche) – Un petit groupe d’étudiants du foyer St Charles
AU GUATEMALA : les jeunes élèves du centre Pavarotti ont le sourire !
La visite de nos équipiers est un petit événement, qui vient surtout leur rappeler que des personnes solidaires, bien loin, en France, veulent contribuer à leur éducation pour un meilleur avenir.
Jeunes élèves du Centre Pavarotti, enfants défavorisés pour la plupart issus de la communauté indigène KAQCHIKEL.
EN INDE : RENCONTRE DE M. Govindaraju, directeur de SEVAI
Les bénévoles en mission en Inde ont rencontré fin janvier M. Govindaraju, directeur de SEVAI, partenaire « historique » depuis 1992. Son énergie et sa motivation ne faiblissent pas et cette année encore des programmes innovants voient le jour, toujours pour défendre les enfants des sous-castes discriminées.
A Shanthi School, école associative fondée par SEVAI pour les plus pauvres, le soutien scolaire a lieu matin et soir dans la cour par manque de salles de classes. En 2018, les AEM vont participer au financement de la construction du nouveau bâtiment qui va pouvoir accueillir ces élèves assidus.
Les AEM financent aussi des classes du soir dans des villages isolés, villages de tribus ou d’Intouchables. Ces enfants sont ainsi soutenus dans leur scolarité, ne pouvant être aidés par leur parents souvent analphabètes et ne parlant que leur langue tribale, le « telungu ».
Rencontre avec M. Govindaraju, directeur de SEVAI (à gauche) – Les élèves d’une école tribale SEVAI (à droite)
A MADAGASCAR : ATELIER MERE-ENFANT ET GROUPE DE PAROLES
« Au cours des 2 premiers jours de notre mission, nous avons assisté à un atelier mère/enfant géré par notre partenaire malgache KOZAMA et à un atelier groupe de parole mené par l’autre partenaire KOLOAINA.
L’atelier mère/enfant est externalisé dans un dispensaire où les mères viennent pour une visite de PMI. La pratique des animateurs est maintenant bien rodée : un temps d’accueil, un temps consacré aux explications sur le bain et le message, et un temps pour des entretiens individualisés.
Pour l’atelier groupe de parole, il s’agit d’une première expérience dans un quartier défavorisé de la ville de TANA. L’objectif est de sensibiliser les femmes sur un thème choisi. Au cours de cette séance, les femmes ont échangé avec les animateurs sur l’automédication, pratique très courante dans ces quartiers, mais relevant essentiellement de la superstition, dont présentant souvent des dangers pour la santé des familles. »
Atelier mère-enfant KOZAMA (à cgauche) – Groupe de parole KOLOAINA (à droite)
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